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Récemment, sur les médias sociaux sont apparus images et vidéos de chiens abattus dans les rues tunisiennes. Ce massacre est réalisé pour résoudre le problème des chiens errants, qui afflige l’État nord-africain.
En effet, chaque année plus de dizaines de milliers de citoyens sont attaqués par des chiens errants. En 2015, juste dans la ville de Monastir, 2.175 personnes étaient agressées par des chiens errants, alors que pendant l’année précédente, selon les chiffres publiés par le Ministère Tunisien de la Santé, 47.000 personnes ont été attaqués à un niveau national. Telle est la raison qui a poussé le Gouvernement à approuver la décision de lancer une campagne d’abattage de masse des chiens errants, dont les images ont provoqué la consternation de tous le monde et l’horreur des utilisateurs d’Internet et des célébrités, expressément rangé contre ces méthodes de contrôle inhumaines.
De toute évidence, la principale cause de la truble est due à l’échec des propriétaires d’animaux de castrer leurs animaux. Les vétérinaires partout dans la Tunisie sont conscients que les gens jettent les chiots et les chatons dans les rues, une fois que leurs animaux donnent naissance, et ce comportement, qui est général accepté, augmentent considérablement le problème. En outre, le problème est aggravé par la faiblesse du système de collecte des déchets de la Tunisie, qui fournit aux animaux abandonnés une source constante et toujours prêt de nourriture. Connecté à ce problème, il y a la rage: chaque chien peut être infecté par la rage, et en parallèle, a le potentiel de répandre, d’infecter d’autres animaux et les humains, aussi. Depuis 2013, les données ont indiqué qu’il y a déjà eu 14 cas de décès liées à la rage.
La stérilisation est nécessaire: l’abattage des chiens errants est pas seulement une pratique inhumaine, mais les massacres sont «une perte de temps, d’argent et des efforts». Simona Farcas, une des organisateurs de la marche de Tunis du 29 mai 2016, pour protester contre la pratique de l’État de l’extermination des chiens errants, rappels l’inutilité de la périodique “campagne de tir”, qui est «un méthode barbare et inefficace pour contrôler la population de chiens errants».
Il est insensé penser que en tuant les animaux, il est possible surveiller la population errant.
En fait, suffit de «considérer qu’un seul couple de chiens et de leur progéniture peut se multiplier en 50.000 chiens en cinq ans». Néanmoins, malgré les énormes avantages par rapport à la peu d’engagement de la stérilisation, cette idée trouve encore nombreuses difficultés de se faufiler dans l’esprit des Tunisiens.
En effet , ce concept est très peu connu, compris ou accepté, et l’absence de campagnes de stérilisation nationales et surtout le manque de prise de conscience générale sur la nécessité de stériliser animal ou, au moins, bien prendre de chiots non désirés amplifie le problème.
Comme pour la Romanie, voir https://www.oipa.org/international/campaign-romania/, OIPA est dans la première ligne pour aider à mettre fin à ces cruels pratique, mais il est fondamental que le gouvernement lui-même actives pour protéger les animaux et ses propres citoyens: il doit investir dans des programmes de stérilisation et de vaccination da la rage de masse, ainsi que dans des campagnes d’éducation, afin de sensibiliser la population sur l’importance de castrer les animaux et la bonne façon de prendre soin de leur animaux de compagnie.
Programmes de stérilisation national sont la seule possibilité de résoudre définitivement cette situation inacceptable, avec une manière humaine: il est ce qui marquerait un terme à une pratique qui laisses souvent des animaux blessés souffrent pendant des heures, avant de mourir.
OIPA International soutient un groupe local de volontaires et de activistes qui tentent d’aider les animaux en Tunisie. Ils signalent une situation grave: tous les soirs officiers publics ont tiré les chiens errants et souvent, par erreur, animaux de compagnie, aussi. Les animaux sont laissés dans les rues, les blessés et souffrants.
La situation en Tunisie a toujours été difficile pour les chiens errants, le gouvernement n’a jamais fait beaucoup pour faire face au problème et, récemment, la situation devient encore pire. Malgré de nombreuses manifestations et des appels au gouvernement pour arrêter les opérations de mise à mort massive des animaux errants, rien n’a changé.
Les volontaires soutenus par OIPA tentent de construire un abri où il est possible d’accueillir des animaux errants, avec le soutien du Gouvernement. Leur projet est de promouvoir des campagnes de sensibilisation dans les écoles et de sterilizer les animaux, promouvoir les adoptions, éduquer la population locale à être plus sensibles avec les animaux et de prendre soin des animaux de compagnie.